Introduction
Ayaka Yoshida, membre du Parti Communiste Japonais âgée de 27 ans, a reçu plus de 8 000 menaces de mort après avoir proposé des serviettes hygiéniques gratuites dans les toilettes publiques. Les menaces provenaient d'une seule adresse email, envoyées à intervalles d'une minute pendant quatre jours la semaine dernière.
Contexte
Ce incident met en lumière les défis persistants du harcèlement basé sur le genre dans la politique japonaise, où les femmes plaidant pour des initiatives de santé publique font face à une intimidation sévère.
Développements
Le nombre de menaces à l'encontre d'un membre d'une assemblée locale a suscité des débats plus larges sur l'accessibilité des soins menstruels.
Conclusion
Cette situation souligne la nécessité d'une réflexion approfondie sur la sécurité des femmes en politique et l'importance d'améliorer l'accès aux produits de santé menstruelle.